Cette émission diffuse les séquences suivantes :

Indicatif.
Le cheval d'or (Pierre Maguelon) par lui-même (petit bobo).
La Contrescarpe (Jean-Pierre Suc) par Suc et Serre.
Présentation du cabaret par Pierre Maguelon (petit bobo).
Les Tartes à la crème (Jean-Pierre Suc) par Suc et Serre.
L'installation du cabaret dans la boutique de Léon Tcherniak par Pierre Maguelon (petit bobo).
L'amour à la Mouf (Jean-Pierre Suc) par Suc et Serre.
L'appel du cheval par Pierre Maguelon (petit bobo).
Le cheval d'or (Jean-Pierre Suc) par Suc et Serre.
Indicatif.

Au piano et à la guitare, Jean-Pierre Suc ; au tombone, Gaston Balenglow ; à la contrebasse; Henri Droux.
Réalisation, Pierre Billard.

Les documents préparatoires à cette émission apparaissent dans le fond André Camp dans la rubrique F delta 1914 /1/ 10.- Emissions et projets d’émissions radiophoniques (23 mai 1946 au 12 février 1982).- 240 pièces.
« A l’enseigne du cheval d’or », émission de Janine et André Camp : projet d’émission et correspondance administrative, présentation de l’émission, notes diverses, coupures de presse, courrier des lecteurs, photographies. 20 novembre 1956 au 23 novembre 1957.- 41p.

Fonds André CAMP 1867-2003 [F delta 1914] INVENTAIRE Nicolas Veysset Nanterre BDIC Juillet 2005

Cette émission a été communiquée par Nathalie Solence à Maguelonne Couzinié (la fille de Pierre Maguelon) ; Nathalie Solence explique ci-après comment elle se l'est procurée :
"Cet enregistrement sur cassette nous a été donné, à Jacques (Serizier) et à moi, par Gaston Balenglow, le trombone de Boby, qui jouait aussi avec Suc et Serre au Cheval d’Or.
Avec Jacques, nous étions allés à Pézenas pour l’anniversaire de Boby en 1992, c’était 20 ans après sa mort et il aurait eu 70 ans. Nous chantions en duo avec Jacques « Ça va ça vient ».
Cela donna à Gaston Balenglow l’idée d’enregistrer un disque des chansons de Suc avec Jacques, moi et lui. C’est pourquoi il nous envoya deux cassettes, avec des chansons et cet enregistrement. (Après Jacques a été malade et le projet n’a pas abouti)."

Dans son magnifique livre "Mes années Serize", Editions l'Harmattan, Collection Cabaret, Nathalie Solence relate cet épisode des pages 93 à 100.